Présentation de Tenzin Tsémé

Bonjour !

J’espère que cet article te trouvera en forme !
Je vais, dans cet article, te parler un peu de moi : qui suis-je, mon ancienne vie, comment est né Aliosha.

tenzin tsémé

Tenzin Tsémé, un peu de moi.

J’ai toujours aimé la création mais il m’a fallu attendre pas mal de temps pour oser pousser la porte d’une association artistique et débuter la peinture et la sculpture, ce que j’ai fait il y a une dizaine d’années.

J’ai suivi quelques cours, ai participé à des stages pour y apprendre les techniques de base avant de prendre mon envol et commencer à créer mes propres toiles et sculptures.

 

 

tenzin tseme tableau le potala tibet
Tableau “Le Potala”
tenzin tseme tableau peniscola
Tableau “Peniscola”

Je suis bouddhiste pratiquante depuis des années maintenant. Malgré cela, je continue à étudier et suis actuellement, en ligne, un cursus diplômant par le biais du Monastère de Nalanda dans le Tarn. Les études durent cinq années et j’ai débuté la seconde année en 2019.

 

Aliosha a naturellement rejoint ma vie. Il s’est imposé à moi comme pour partager mes expériences de voyages et de tout ce qu’apporte le bouddhisme. A travers lui, c’est un peu de moi que l’on trouvera mais de façon romancée bien évidemment.

La Russie et moi, une belle histoire

J’ai eu la chance de connaître la Russie, à l’époque l’URSS, de voyager dans le transsibérien, de ressentir cette ambiance particulière qu’avait le pays et de découvrir un peuple slave qui m’a de suite faire sentir que j’étais chez moi. Malgré les difficultés du quotidien, les russes ont toujours gardé leur accueil si chaleureux et à la fois cette individualité bougonne comme, par exemple, de ne pas tenir la porte du métro derrière soi ! Nombreux étrangers en ont fait les frais !

J’ai également fait des études de langue russe à Moscou durant une année ajoutées à celles faites en France au lycée. J’aime cette langue, elle est pourtant si compliquée mais tellement belle.

Aliosha allait donc être russe ou soviétique ! C’était un premier point évident.

Ensuite Aliosha devrait se diriger vers le bouddhisme, tout comme moi je l’ai fait. Voilà le second point évident était trouvé.

Et entre les deux ? Il m’a fallu trouver une époque, une ambiance, mais comment lier ces deux évidences ? Relier la Russie (ou l’URSS) et le bouddhisme. Vaste programme n’est-ce-pas ! Je me suis intéressée aux années 50 et j’avais enfin trouvé mon lien : la vie sous Staline, l’URSS, les soviétiques, leur quotidien et le Tibet où l’invasion chinoise allait bientôt démarrer. Aliosha se situe donc entre ces deux périodes.

Continuer l’écriture

J’ai poursuivi ma recherche de scénario jour après jour –  tu auras bientôt un article consacré entièrement à la façon dont j’ai écrit le voyage d’Aliosha – J’ai monté une première histoire et me suis retrouvée avec un premier livre qui faisait… 40 pages ! J’ai eu l’idée de créer des illustrations mais je n’étais pas sûre de moi. Après avoir été en contact avec une première illustratrice, il s’est avéré que notre collaboration ne pouvait durer. C’est à ce moment qu’Aliosha et ses 40 feuilles ont été déposés au fond d’un tiroir et le fichier sauvegardé dans mon disque dur. Il y est resté trois années.

En 2015 j’ai décidé de reprendre l’intégralité, d’y ajouter des dialogues, de me documenter sérieusement sur des points qui ne m’étaient pas familiers. Et j’ai repris ma plume et j’ai écrit, écrit… Le mot fin (ou plutôt à suivre !) a été apposé fin 2017. Entre-temps j’étais entrée dans une nouvelle phase de ma vie : un gros chamboulement dans le travail, un déménagement familial en urgence, tout reconstruire au bord de la mer.

Une fois ce chamboulement quelque peu digéré (il m’aura fallu une année pour comprendre que oui, maintenant, je vis au bord de la Méditerranée !) j’ai repris mes réflexions quant à Aliosha et ai décidé de créer mes propres illustrations de paysages, villes, villages et mon amie Hari Green Berry m’a alors proposé de créer le personnage d’Aliosha après qu’une autre illustratrice ait essayé de réaliser quelques essais. Hari Green Berry allait donc réaliser les illustrations mettant en scène des passages importants du livre. Notre équipe était opérationnelle !

Et la musique dans tout ça ?

Je suis une ancienne musicienne, vingt années de piano. Comment ne pouvais-je pas ajouter de la musique au roman illustré ? L’idée était là, j’allais le faire. Jean-Marie de Ste Marie se trouve être musicien, compositeur, pratique le mixage, le mastering et tout ce qui touche autour de la vidéo. Il se trouve qu’il est aussi mon conjoint. Il a de suis signé pour embarquer dans le voyage d’Aliosha. Mais à une condition : que j’écrive toutes les mélodies de base. Il se chargerait ensuite de l’enrichissement de celles-ci. Banco ! Le troisième larron était trouvé !

Ainsi est né Aliosha. Partie d’une histoire de 40 pages, j’ai aujourd’hui plus de 300 pages à mon actif. Près d’une cinquantaine d’illustrations, Hari Green Berry environ vingt cinq, un site internet créé par mes soins et que nous alimentons tous les trois, la musique qui est en cours de création… Et bien-sûr la mise en page du voyage d’Aliosha qui est en cours de création.

Voilà pourquoi nous avons le plaisir de t’offrir ce blog pour partager avec toi les coulisses : comment le voyage d’Aliosha a été rédigé, comment nous avons réalisé les illustrations, la musique. Bref tu sauras tout mais nous comptons bien garder le suspens malgré tout !

N’hésite surtout pas à nous poser des questions si le coeur t’en dit !

Ah j’oubliais, Aliosha se promène sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Instagram. Tu as tous les liens dans la partie latérale du blog ! N’hésite pas à parler de lui à tes amis, il n’en sera qu’heureux ! Oui oui, je te l’assure ! Aliosha est une personne sympa et promis, il te racontera sa vie et ses auteurs partageront leur belle aventure avec toi !

A bientôt

 

Tsémé

Laisser un commentaire

J’accepte les conditions et la politique de confidentialité